Le piège

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il y a 3 ans

Une très jolie histoire érotique de La Sénégalaise où un homme se fait piéger en beauté par une nymphette dominatrice. Elle va lui faire vivre l’impensable.

Je m’appelle Thomas, j’ai la quarantaine, je suis marié à Sophie 35 ans. Sophie est une femme d’affaire, elle a un très bon poste et part souvent pour son boulot aux quatre coins du monde.

Moi de mon côté, c’est un peu moins bien, je me suis lancé comme consultant en entreprise mais il faut dire que ce n’est pas une franche réussite, je passe plus de temps à la maison à prospecter qu’à vraiment bosser. Je profite largement du très bon salaire de ma femme pour vivre et ne pas trop m’en faire, ses nombreuses absences me permettent aussi d’avoir des aventures à droite et à gauche, en faisant attention à rester discret, si ma femme l’apprenait, elle me quitterait et ça serait compliqué financièrement pour moi.

Sophie est l’aînée de 3 filles, sa plus jeune sœur Manon a tout juste 20 ans, elle est étudiante dans une autre région et surtout très jolie. Pendant les dernières vacances scolaires, Sophie a proposé à sa sœur de l’héberger pour qu’elle puisse profiter des trésors de notre ville et Manon débarqua chez nous le samedi après-midi.

Les deux sœurs partirent toute l’après-midi faire du shopping, ne rentrant que tard dans la soirée.

Le lendemain Sophie devait partir pour 2 semaines en Inde, elle se coucha tôt ce soir-là me laissant seul devant la télé avec Manon. Rien de très passionnant au programme, Manon partit rapidement se coucher elle aussi. Au passage, je suivis du regard le doux balancement de ses fesses quand elle me quitta. J’avais beau zapper, rien n’accrochait mon intérêt, je montai me coucher. Sophie était déjà endormie, je me collais à elle, passant mes mains sous sa nuisette pour explorer son corps mais elle grogna, me disant qu’elle était fatiguée et voulait dormir. Je me tournais donc sur mon côté et je me couchais sur mon érection bien dure….

Le lendemain, Sophie me réveilla tôt et me demanda de l’amener à l’aéroport. Elle était déjà prête, j’enfilais des habits en vitesse et je la déposais à l’aéroport.

Tu seras bien sage pendant mon absence ! me dit-elle. Tu jettes un œil à Manon, tu t’occupes un peu d’elle, fais pas ton ours, soit sociable. Oui bien sûr, lui répondis-je.

Le haut-parleur du hall annonça l’embarquement de son vol, elle m’embrassa et partit le prendre.

De retour à la maison, il ne semblait pas y avoir d’activité. En allant vers ma chambre, je passais devant la chambre d’ami où dormait Manon. La porte était légèrement entre ouverte, en passant rapidement j’eus la vision furtive d’un corps nu posé sur le lit. Sans bruit je me replaçais dans l’entrebâillement de la porte pour essayer de mieux voir. Le drap était tiré, Manon était couchée nue sur le ventre. Un corps aux proportions parfaites éclairé par un mince filet de lumière. Je me mis à bander dur devant cette nymphette endormie.

Manon bougea, sans bruit je m’éclipsais et partis dans la cuisine me faire un café. 5 minutes plus tard, Manon descendit à son tour, vêtue d’une simple nuisette qui lui arrivait à mi cuisses. Le tissu assez fin laissait poindre ses tétons qui captivaient mon attention. Quelle belle jeune femme ! On discuta un peu de tout et de rien, des choses à voir (ses seins pensais je en mon fort intérieur) des choses à visiter (son petit cul appétissant). Ses images de cette nymphette étendue nue sur son lit me faisait bander, je pris congés de Manon pour aller prendre ma douche et essayer ne pas lui montrer le trouble qu’elle créait en moi.

Une douche assez fraîche remet les idées en place et calme bien des ardeurs. Propre et rafraîchi, je me séchais quand la porte de la salle de bain s’ouvrit, Manon entra, je cachais mes attributs avec la serviette de bain, pendant que Manon fit voler sa nuisette par-dessus son corps. Nue, elle me dit simplement, « je prends ma douche comme c’est libre. ». Je restais interdit, pendant qu’elle entrait tout naturellement dans la cabine de douche et fit couler l’eau. La serviette autour des hanches, je partis dans ma chambre pour finir de m’habiller. Assis sur mon lit, je rêvassais, repensant à ce passage furtif et sans gêne de la miss. Il n’y a pas à dire, si elle n’était pas la sœur de ma femme, je l’aurais rejointe sous la douche et je lui aurais fait sa fête.

Assis nu sur mon lit, une chaussette à la main, le souvenir de ce jeune corps féminin passant nu à côté de moi me mettait en émoi, en réponse mon sexe pointait dur.

– Est-ce que tu peux m’amener en ville tout à l’heure ?

La voix de Manon me tirait de mes pensées, elle se tenait nue dans l’entrée de la pièce, se séchant les cheveux avec sa serviette tout en me parlant. Surpris, je cachais par réflexe mon érection et je lui bafouillais une réponse positive tant bien que mal. Manon partit dans sa chambre. Encore une fois, la vision de cette nymphette nue aux seins fermes et le sexe épilé ne calma pas la dureté de mon érection. Finalement prêt, je déposai Manon au centre-ville pour la journée, elle allait passer sa journée à visiter et se promener.

Rentré à la maison, le souvenir de cette nymphette nue m’obsédait, je n’arrivais pas à savoir si elle cherchait à m’aguicher ou si son comportement n’était qu’innocence. Fouillant dans ses affaires, je ne trouvais que de la lingerie de jeune femme sage, rien d’affriolant, pas de tenue ou d’objet qui aurait pu me faire penser au sexe. Le soir venu, avachi sur le canapé en tee shirt et caleçon, je regardais un film d’horreur pour passer la soirée. Manon rentra, me voyant elle me demanda ce que je regardais.

A ma réponse, elle répondit qu’elle adorait, qu’elle allait vite se mettre à l’aise et qu’elle allait regarder avec moi. Je la vis revenir rapidement en nuisette sous laquelle pointaient ses seins et en caleçon très ample. Couché sur le côté du canapé, elle se mit dans la même position à l’opposé de moi. Une jambe repliée m’offrait un panorama somptueux sur son entrejambe, pendant qu’elle était absorbée par le film. La vision de cette fente toute lisse réveilla mon sexe, pour rester discret, je prétextai d’avoir un peu froid pour mettre une petite couverture sur moi. La queue très dure je regardais plus souvent son petit nid d’amour que le film d’horreur.

A chaque scène un peu gore, je voyais Manon sursauter et frissonner. La pièce était dans le noir, seule la luminosité de la télé éclairait l’environnement.

J’ai un peu froid moi aussi et j’ai peur, tu me fais une place. Sans attendre ma réponse, Manon se glissa contre moi et remit la couverture sur nous. Collée à moi, je ne bougeais pas, de peur qu’elle ne se rende compte de l’état de ma queue. Je sentais son corps contre le mien, ses seins s’offraient à moi par l’entrebâillement de sa nuisette, une de ses mains était posée sur le haut de ma cuisse, à l’orée de mon caleçon. Je ne disais plus rien, je regardais le film en essayant de calmer mon érection.

Manon bougea une fois, puis une seconde pour mieux se caler avec moi, je ne disais rien, essayant de ne pas penser à cette nymphette innocente quasiment nue à côté de moi. En bougeant, sa main avait glissé à l’intérieur de mon caleçon, je n’osais pas faire un geste de peur que ma queue touche sa main.

Je toussais, elle bougea et toucha sa main. Ne plus bouger…. Je sentis un doigt venir explorer l’intruse qui avait touché sa main. Un coup d’œil furtif vers elle mais elle regardait le film. Ce doigt lentement monta du bas de ma verge jusqu’à mon gland. Je retenais ma respiration, je n’osais plus la regarder, le film, seul le film.

Le doigt avait du sentir que mon sexe perlait, il s’arrêta un moment sur mon gland. Pendant une éternité, ce doigt tel un dresseur de fauve domptait ma queue. Elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte de ce qu’elle touchait…..Ne pas bouger, ne rien dire…. Le doigt commença des petits mouvements de caresses sur mon gland, facilité par les sécrétions de ma queue, le doigt tournait doucement sur mon gland. Ma queue se cabrait, réagissait à ces caresses. Le film continuait à se dérouler sur le petit écran pendant que ma queue se faisait dompter par ce doigt.

Un second doigt arriva, suivi d’un troisième…ma queue tendue se retrouva enveloppée par une main douce qui jouait avec. La main me caressait, insistant à chaque fois sur mon gland. Que faire, que dire, la renverser sur le canapé et la baiser voilement ? Non , attendre, voire où elle va m’amener. Une caresse plus prononcée m’arracha un soupir de plaisir. Manon me regarda.

– Tu aimes ce que je te fais ?

Sans un mot, d’un hochement de tête je lui répondis.

– T’aurais envie de me baiser ?

Pas de mot, un sourire et hochement de tête lui apportèrent la réponse.

– Moi aussi j’ai envie mais d’une façon un peu spéciale….

Interloqué, je la regardais en silence.

– J’ai un gros fantasme…me faire prendre de f o r c e , me faire v i o l e r….

Je la regardais interdit, me demandant si j’avais bien compris ce qu’elle m’avait dit.

– Je vais aller dans ma chambre, tu me laisses 10 minutes…ensuite tu viens vider ta queue qui n’en peut plus… je ne vais pas vouloir mais c’est toi l’homme, tu prends ce que tu as envie….

Elle avait lâché mon sexe, posé un doigt sur ma bouche, elle sourit puis s’en alla dans sa chambre. Les minutes passaient lentement….10 minutes, le caleçon déformé par mon érection, je me dirigeais vers sa chambre. Manon lisait tranquillement allongée sur son lit Salut, tu ne regardes plus ton film ? dit-elle sur un ton très neutre. Non, je n’ai plus envie de voir d’horreur, mais plutôt des merveilles…. Manon me regarda. Je fis passer mon tee shirt au-dessus de ma tête et je le jetai au sol.

– Qu’est-ce que tu fais ?

D’un geste, mon caleçon tomba également, je me tenais nu en érection devant elle.

– Mais… non, non, sors de ma chambre…..

Sans un mot, je me jetais sur le lit, agrippant la culotte de Manon pour essayer de l’enlever. Manon tentait de la retenir, un déchirement se fit entendre, en même temps qu’un « non » de Manon. Allongée sur le ventre, les fesses découvertes, je m’allongeais sur elle, elle essayait mollement de résister. Ma main alla à la rencontre de sa fente, plus ma main avançait vers l’objectif, plus elle miaulait des « non » plaintifs. Sa fente était trempée, elle aimait cela la garce. D’un petit mouvement, j’ouvrais le passage vers sa fente, j’empoignais mon sexe et le plaçait à l’entrée du sien.

– Non pas ça, s’il te plait !

Elle disait non mais son corps ne luttait plus, j’enfilais d’un coup mon sexe dur en elle. Oui, j’en avais trop envie de t’enfiler petite salope. Je vais te remplir, tu vas être mon vide couille ce soir. Manon, la tête enfouie dans l’oreiller ne disait rien, la prenant par les hanches, je lui donnais des gros coups de queue bestiaux. Enfilé à fond en elle, je tirai sur sa nuisette, la déchirai et lui ôtai pour profiter de son corps nu. Manon se laissait faire, telle une poupée désarticulée, je la tournai pour la mettre sur le dos, écartant ses cuisses, je revins en elle d’un coup sec.

Elle avait un corps sublime, ses seins ballottaient en rythme avec ma queue qui labourait sa fente. La situation était jouissive et ma queue trop pleine, trois coups de plus et au quatrième je me collais à elle pour la remplir de ma semence. Après un court instant, je me retirai, ramassait mes affaires et retournai dans le salon. Manon me rejoint quelques minutes plus tard, elle s’allongea nue contre moi.

– J’ai adoré, merci c’était trop bon.

– Moi aussi j’ai adoré, tu ne diras rien à ta sœur, sinon elle va me tuer.

– T’inquiète… hum, laisse-moi encore un peu sucer ta queue

Elle se pencha et prit mon sexe plein de nos sécrétions d’amour en bouche.

– Tu veux me lécher ?

– Euh…non, moi le sperme ce n’est pas mon truc.

– Dommage, j’aime bien qu’on me lèche quand je suis pleine… me dit-elle avec un regard pervers.

Le lendemain, je déposai à nouveau Manon en ville, de mon côté, j’avais décroché des rendez-vous qui avaient occupé une partie de ma matinée. Rentrant en début d’après-midi, je constatai que la porte d’entrée n’était pas fermée, Manon était revenue, ses affaires traînaient dans l’entrée, mélangées avec d’autres affaires plutôt masculines.

Passé la porte, des voix se faisaient entendre dans le salon, en m’approchant, je compris vite qu’il y avait un couple et qu’ils ne jouaient pas aux cartes. Plus je m’approchais, mieux j’entendais Manon gémir de plaisir. A la porte du salon, je découvris Manon couchée sur le canapé, les jambes tenues en l’air par un gars nu qui la baisait.

  • C’est quoi ce bordel ! m’écriais-je

  • Continue, t’arrête pas commanda Manon au gars

L’homme était de type magrébin, il était bien bâti et avait largement une tête de plus que moi. L’homme me jeta un regard menaçant puis continua à baiser Manon. Pas téméraire, je me tus, attendant la fin du coït pour ré intervenir. L’homme se vida assez vite, laissant Manon sur le canapé, il partit tranquillement la queue pendante vers la cuisine, disant qu’il allait se chercher une bière.

Seul avec Manon, je pris un air sérieux et grave.

  • Non mais, tu te crois où la ? Ça ne va pas !

Elle sourit, me défiant du regard

  • Tu viens me lécher, je suis pleine de sperme

  • Je te cause, arrête tes conneries, c’est sérieux !

Manon actionna la télécommande de la télé, une vidéo apparue…c’était elle, c’était moi…c’était son fantasme de v i o l filmé…..cela paraissait tellement vrai…..

Tu veux que je montre à ma sœur comment tu te comportes quand elle n’est pas là.

Mais tu étais d’accord…. Mon assurance et ma morgue avait subitement disparu.

Quand on se fait v i o l er, on n’est pas d’accord…..une jeune femme frêle et innocente comme moi…..Manon avait enchaîné ces phrases d’une petite voix fluette.

J’étais piégé, comment faire croire que ce n’était pas un v i o l mais un fantasme…la vidéo était…implacable…..J’étais piégé. Cette gamine m’avait eu avec un culot monstre et moi comme un con j’étais tombé dans le panneau. Le magrébin était revenu et sirotait sa bière en nous regardant.

Bon OK, j’oublie tout et on est quitte. Je tentais d’échapper à l’emprise de Manon.

  • Non, ce n’est plus toi qui décide quoi que ce soit. Tu commences par te déshabiller.

Le magrébin souriait, je le regardais, je regardais Manon, ils étaient toujours nus, elle du sperme coulant de sa fente rougie par son accouplement.

  • J’attends….

Je baissais mon regard vers le sol, ma chemise, puis mon pantalon me quittèrent.

  • Tout, tu enlèves tout.

Sans un mot, j’obéis, je me trouvais nu devant eux, les mains cachant mon sexe.

  • Viens me lécher la chatte.

Du coin de l’œil, je voyais le magrébin qui m’observait, le dur regard de Manon ne me laissait pas d’espoir. Je m’approchais d’elle, m’agenouillant devant son sexe d’où se dégageait une forte odeur de sperme. Manon écarta largement les cuisses.

  • Viens, lèche tout

Sans un mot, ma bouche et ma langue vinrent au contact de la fente maculée de Manon, elle prit ma tête avec ses mains, je me laissai guider par elle en m’appliquant à lécher consciencieusement son corps. Le goût était âpre, mais tel un zombie, je léchais tout, avalant la semence qui coulait de son sexe.

  • Hum c’est trop bon, tu vois que ce n’était pas si dur…..tu es un bon nettoyeur de sperme.

J’avais tout léché, j’avais enlevé toutes les traces de spermes sur Manon, elle me toisait en souriant, je me sentais rabaissé terriblement.

  • Tu as bien travaillé sur ma chatte, maintenant il en reste sur sa bite, va lui nettoyer aussi.

Le magrébin rigolait, son sexe semi rigide maculé pendait devant lui. Il s’avança devant moi, me présentant son sexe devant mon visage. Je commençai par des petits coups de langue puis docilement je le pris en bouche quand il le dirigea contre mes lèvres. Il était gros, je faisais de mon mieux pour le prendre en bouche et le nettoyer. Le magrébin s’amusait à faire glisser son sexe dans ma bouche, à chaque passage, je le sentais durcir et prendre de la vigueur. Rapidement, je me trouvais à sucer sa queue en érection, je lui taillais une pipe, moi le gars entièrement hétéro.

Pensant l’avoir bien nettoyé, je m’arrêtais mais Manon m’ordonna de continuer jusqu’à ce qu’elle me dise stop. Je repris la queue en bouche pour le resucée. L’homme émettait des petits gémissements, sa queue avait des contractions que je connaissais trop bien mais je continuais mon labeur. Les mains de l’homme maintinrent ma tête, il s’enfonçait plus profondément dans ma bouche et se vida en trois jets puissants de sperme au fond de ma gorge. J’avais eu du mal à tut avaler, une petite coulée maculait le coin de mes lèvres. Manon s’était levée, son doigt pris la coulée de sperme et la présenta à ma bouche qui l’accueillit soumise.

L’homme prit ses affaires et partit, me laissant seul avec Manon.

  • Regarde ton sexe….

Je bandais, j’avais léché du sperme, sucé une bite et je bandais.

  • Tu vois tu aimes cela…..si tu ne veux pas que Sophie soit au courant, tu as intérêt à m’obéir. Si tu veux garder la vidéo sur la télé en souvenir, tu peux, j’en ai fait des copies sur des serveurs en ligne. Bon tu vas commencer par raser complètement ton sexe, je ne veux plus un poil dessus.

  • Mais Sophie, je vais lui dire quoi quand elle ….

Manon me coupa la parole

  • J’ai horreur de répéter, Sophie si tu veux, je peux lui dire des trucs moi….

  • Non, c’est bon.

Je partis dans la salle de bain comme me l’avait demandé Manon. Dans les griffes d’une petite salope j’étais. Méticuleusement, la lame du rasoir enleva tous les poils, en faisant attention à ma partie de corps la plus précieuse. Rasé de près, je me contemplais dans le miroir, surprenant un sexe d’homme imberbe, il allait aussi falloir trouver une explication pour ma femme. Je retrouvais Manon toujours nue dans le salon, à mon arrivée, elle jeta un coup d’œil à mon travail, sourit et me dit

– C’est bien, viens avec moi.

Elle se leva, et se dirigea vers sa chambre. Je la suivais tel un petit chien, matant ses fesses tout au long du trajet. Dans sa chambre, elle me fit allonger sur le lit et elle s’asseyait à côté de moi. Avoir une nymphette à côté de moi ne me laissait pas insensible, ma queue semi rigide lui montrait l’effet qu’elle avait sur moi. Manon prit mon sexe dans ses mains, délicatement, elle me caressait tout l’entrejambe pour faire monter mon désir.

Assise nue contre moi, jouant avec mon sexe glabre, elle me souriait. Ma main la plus proche se posa sur sa cuisse, j’avais envie d’elle, elle jouait avec mon excitation.

– Alors, ça te plait ce que je te fais…

Empoignant son sein, je lui répondis un oui dans un soupir.

– Tu as aimé me lécher ? me demanda-t-elle tout en amplifiant les caresses de ses mains sur ma queue.

Un soupir de plaisir fut ma réponse. Ses caresses me rendaient fou, je sentais que ma jouissance n’allait pas tarder.

– Tu voudras bien relécher ma chatte pleine de sperme ? continua-t-elle en accentuant la masturbation de mon sexe.

Je lui écrasais littéralement le sein et lui lâchais : « Ahhh, oui, je te lécherai tout…..ahhh. »

Elle s’arrêta et enleva ma main de son sein.

– Tu me fais mal, arrête et laisse toi faire.

Ma jouissance était quasiment arrivée, ma queue se dressait dans tous les sens, elle ne pouvait pas m’abandonner comme cela, il fallait que je me vide.

Redressant la tête, je la voyais se lever, aller fouiller dans son sac et en sortir des liens.

– Je veux que tu restes tranquille, laisse toi faire, ça va être mieux comme cela.

Un sexe au bord de l’explosion empêche de réfléchir, seule ma jouissance m’importait, si je la laissais faire, elle allait me faire jouir. Elle lia une jambe à un pied du lit, puis la seconde à l’autre pied. Elle prodigua une caresse furtive sur mon sexe lui disant : «patience, je viens m’occuper de toi…. » Très sûre d’elle, elle lia solidement chacun de mes poignets à un côté du lit, je gisais allongé nu, immobilisé les bras et les jambes écartés. Seul mon bassin avait encore une petite latitude de mouvement, se soulevant de quelques centimètres, suppliant se faire attr a p e r la queue pour une jouissance espérée. Manon se rassit à côté de moi, elle reprit les caresses sur ma queue.

– Retiens toi, ne jouit pas tout de suite, dis-moi quand tu sens que ça vient, je vais te faire un truc que tu n’oublieras pas.

Ma queue dure à éclater, mon gland v i o l et, je n’en pouvais plus, à chaque fois que je m’approchais de moment de délivrance, Manon s’arrêtait et laissait tomber la pression. Jouir était une obsession.

– Allez on y est, encore une fois tu me dis quand ça vient, je te fais le final…. Me dit-elle avec un grand sourire charmeur.

La tension était telle dans mon sexe que je m’imaginais éjaculer jusqu’au plafond. La masturbation de Manon m’arrachait des gémissements de plaisir, sentant que j’allais atteindre le point de non-retour, je lui dis.

Elle cessa instantanément de me toucher, se leva et sortit de la chambre. J’ondulais du bassin, à la recherche de l’impossible jouissance. Un homme excité ne réfléchit plus, seule ma queue pleine m’obsédait. Jouir, jouir par tous les moyens mais comment faire en étant immobilisé ligoté sur un lit. Manon revint rapidement, elle plaça un bandeau sur mes yeux, la sensation de dureté était décuplée par cette perte de sensation visuelle.

– Du calme, ça va aller, je m’occupe de ta queue bien dure.

Elle avait à peine fini sa phrase qu’une sensation de froid intense enveloppait complètement mon sexe. Je hurlais d’arrêter, elle comprima encore plus la glace sur mon sexe qui perdit toute vigueur. Passer d’une excitation extrême à un sexe tout mou et recroquevillé par le froid, c’est comme un freinage d’urgence qui vous fait passer de 200 km/h à 0 en 10 secondes. Les yeux bandés, le sexe réfrigéré, j’avais perdu mes repères, mes sensations. Je sentais que Manon triturait son sexe mais je n’avais aucune idée de ce qu’elle faisait.

Clic.

– Voilà, c’est fait, ça va aller mieux maintenant.

Manon enleva mon bandeau, je soulevais la tête et aperçu mon sexe prisonnier d’un truc en métal fermé par un cadenas.

– C’est quoi ça ?

– Ça c’est une cage de chasteté, ça garde ta queue au chaud à ma disposition.

– Quoi ?! Non, enlève-moi ça tout de suite…

Manon prit des photos avec son mobile et pianota en souriant.

– Tu veux que je les envois à Sophie ?

Répondre ne servait à rien, je laissais retomber ma tête en arrière sur le lit en signe de soumission. Manon défit mes liens un à un sans un mot, elle me tendit un string en dentelle rose en me disant : « pour toi »

Me sentant ridicule, je l’enfilais sans discuter, essayant de faire entrer ma cage de chasteté au mieux dedans. Manon reprit des photos, au point où j’en étais, je ne disais plus rien.

– Viens voir…. Me dit Manon qui s’était assise sur le lit.

Je restais immobile.

– Allez viens, que je te montre comme tu es beau.

Assis à côté de Manon, elle faisait défiler les photos sur son téléphone, toutes plus choquantes les unes que les autres. Moi ligoté nu sur un lit, moi avec une cage de chasteté, moi en string féminin rose, moi en suçant la bite d’un gars, sur la suivante, Manon avait bougé l’angle de vue pour qu’on voit bien mon sexe bandé pendant que j’en avais une dans la bouche….

– Tu vois, si Sophie tombait sur ces photos ou sur la vidéo, ça ne serait pas terrible pour toi.

Je sentais qu’elle n’attendait même pas une réponse de ma part, tellement elle était évidente.

– Tu veux quoi Manon?

– M’amuser…. pas toi ?

Pas certain que nous ayons la même vision des amusements, je baissais la tête et répondit tout bas un petit « si »

– J’ai rencontré des gars en ville, je vais leurs proposer de passer boire l’apéro ce soir…en toute simplicité….

Manon pianota sur son téléphone, je me levais et partit vers ma chambre pensant m’habiller.

– Tu vas où ?

– Je vais passer une chemise et un pantalon

– Ok, et tu peux aller faire quelques courses, histoire qu’on puisse recevoir mes potes correctement.

Habillé, je partis au supermarché du coin pour ravitailler le frigo en boisson et nourriture.

A mon retour, Manon n’est plus là, je filais en vitesse dans sa chambre essayant de trouver une clé USB ou un support sur lequel elle aurait pu copier le film et les photos ainsi que la clé de ma ceinture de chasteté. Dans mes deux quêtes, je fis chou blanc.

Où était-elle partit, que faisait elle encore ? La fin de l’après-midi, un flot de questions sans réponse me tourmentaient mais surtout que raconter à Sophie quand elle s’apercevra que j’avais rasé mon sexe. La cage de chasteté n’était pas un problème, il était évident que Manon me l’enlèverait avant le retour de Sophie. Toutes les réponses que j’imaginais ne me satisfaisaient pas au final mais le retour de ma femme était encore loin, ça me laissait du temps.

Le temps passait, toujours pas de nouvelles de Manon, où était-elle ? Un coup de fil, messagerie, un sms, pas de réponse. Surprenante cette jeune femme à qui on donnerait le bon dieu au premier abord et qui se révèle être le diable. Le carillon de la porte d’entrée me tira de mes pensées, qui était ce ? Sûrement Manon qui avait oublié ses clés. J’ouvris la porte et me retrouva en face de deux grands black. A mon air surpris, ils me dirent un peu gêné que Manon les avait invité pour l’apéro ce soir. Je les fis entrer en leurs précisant qu’elle était sorti et qu’elle ne devrait plus tarder. Poliment, je proposais aux deux gars de se poser dans le canapé en attendant son retour. Tant bien que mal, j’essayais de leurs faire la conversation mais ils se fichaient royalement de ce que je leurs racontais.

– T’es le gars de la petite ?

– Non, je suis le mari de sa sœur, je l’héberge pour les vacances.

– Tu la baises ?

– Non, non…., ça pourrait être ma fille et c’est la sœur de ma femme.

– Ah… les deux gars ne semblaient pas convaincus de ma réponse.

Le temps passait lentement, toujours pas de nouvelles de Manon, que faisait-elle, où était-elle encore ?

Un des gars pianotait sur son mobile, il s’arrêta, me fixa et me dit qu’il avait soif.

– Oh oui, bien sûr, vous voulez une bière peut être ? …. Un soda ?

Le gars sourit

– Manon, elle a dit que tu allais nous servir du champagne….et du bon….

Je marquais un temps d’arrêt, qu’avait-elle dit à ces deux gars.

– Oui, bien sûr, je vais en chercher

Je partis dans la cuisine, maudissant Manon pour l’ensemble de son œuvre et je revins avec une bouteille de champagne et trois flutes.

J’ouvris la bouteille, alors que je voulais commencer à remplir une flute, le gars me lança une pique.

– Manon, elle a dit que toi tu n’avais pas le droit au champagne.

Quel jeu jouait-elle, même en son absence, j’obéissais à ses ordres.

– Ah ok, alors je vais ramener la coupe en trop dans la cuisine.

Les deux gars rigolaient entre eux, quand je revins de la cuisine pour servir, l’autre gars me lança

– Hé, Manon elle a dit que tu aimais faire le service juste en string….

L’autre enchaîna :

– Elle a même dit que tu aimais beaucoup montrer ton string rose…..

Foudroyé sur place, je marquais un temps d’arrêt. Je déglutis, reposai lentement la bouteille et les regardai.

– Fais-toi plaisir mec, nous ça ne nous gêne pas.

Salope ! Je la maudissais intérieurement de plus belle. Lentement, je déboutonnai ma chemise, espérant qu’ils me diraient d’arrêter mais non, en silence ils m’observaient. La chemise tomba au sol, suivi de mon pantalon. Je me tenais en string rose, le sexe dans son écrin de fer devant deux blacks inconnus qui se marraient de plus belle. Je repris la bouteille doucement, m’attendant à avoir une nouvelle consigne encore plus humiliante, je servis les deux flutes restantes et leurs tendis. Ils trinquèrent et burent une gorgée.

– Il est pas mal ton champagne et t’es un gars vraiment cool.

– Si on peut te faire plaisir, tu le dis, nous on aime bien rendre servir aux potes.

Je demeurais immobile et muet devant eux, attendant tel un condamné la suite du supplice.

Un des gars se leva, fit tomber son pantalon, il n’avait rien dessous, son sexe pendant lourd entre ses jambes, il se rassit en me toisant.

– Manon, elle a dit que tu aimais sucer des bites, je en suis pas PD mais comme tu es un pote, vas-y, fais toi plaisir.

Les deux gars trinquèrent à nouveau en rigolant puis ils me fixèrent du regard. Je tombais à genou devant le gars. Je m’approchais lentement mais inévitablement de ce sexe noir tout flasque. Quand je voulus le saisir avec mes mains, il m’arrêta.

– Non, pas les mains, juste la bouche, c’est mieux.

En même temps, il s’avança un peu pour rendre son sexe plus accessible. Je me penchais et en jouant avec mes lèvres, j’attrapais le boudin noir pour le faire entrer dans ma bouche. L’autre gars pianotait sur son portable, prenait il des photos, envoyait il des messages ? Cette salope de Manon était derrière tout cela, si je n’avais pas cédé à cette nymphette, je n’en serais pas là à sucer la queue de cet inconnu pendant qu’il se régalait de mon champagne. Je m’appliquais à sucer au mieux sa queue qui durcissait régulièrement. Les deux compères ne se privaient pas de faire des commentaires.

– Alors c’est comment ?

– Pas mal, il suce aussi bien qu’une gonzesse, tu devrais essayer.

– Tu crois qu’il avale aussi

– Bien sûr, une salope comme lui, ça se faire gicler dans la bouche.

La porte d’entrée s’ouvrit, l’arrivée de Manon interrompu la conversation entre les deux compères. Elle jeta ses affaires sur un fauteuil et vint les embrasser.

– Ben dis donc Thomas, on peut pas te laisser 5 minutes avec quelqu’un sans que tu lui sautes dessus ! T’es un affamé toi !

Je m’arrêtais, la regardais mais le gars me dit d’y revenir. Je me remis à pomper sa queue bien dure maintenant. L’autre gars s’était levé, il avait empoigné Manon pour l’embrasser à nouveau, passant ses mains sur ses fesses, sous son chemisier pour lui caresser les seins. En un rien de temps, il l’avait débarrassée de son chemisier puis de son pantalon. Il coucha la jeune femme sur l’autre canapé puis tirant sur sa culotte, il finit de la déshabiller.

Le gars que je suçais me repoussa, il se mit complètement nu et plaça son sexe complètement dur sur celui de Manon. Sans aucun préliminaire, il s’introduit entièrement en Manon.

– Putain, tu es gros et dur.

– Ouaih, c’est ton pote, il m’a bien préparé.

A chaque coup de hanche, Manon faisait un commentaire. L’autre gars s’était également déshabillé, le sexe pendant, il se plaça devant moi.

– Suce ! m’ordonna-t-il.

J’ouvris la bouche et je m’appliquais pour le satisfaire. A côté de nouveau, Manon soupirait de plus belle à chaque mouvement de la bite en elle, une vrai tigresse, demandant à son amant d’y aller plus fort, de la défoncer car elle aimait les bites, les vraies, pas comme la mienne.

Voir cette nymphette blanche se faire littéralement pilonner par ce colosse noir était un spectacle hypnotisant, ma queue essayait d’approuver cette vision mais sa cage en fer lui interdisait de se déployer, m’obligeant à me calmer si je ne voulais pas souffrir de cet emprisonnement.

Les deux amants se lâchaient, lui grognant telle une bête, elle criant son plaisir. Dans un coup de boutoir, le black embrocha profondément Manon et se vida en elle en la traitant de salope, de garage à foutre. La tension retombée, celui que je suçais me repoussa, à peine l’autre sorti de Manon, qu’il s’engouffra à son tour dans la fente crémeuse de la nymphette.

Je restais à genou, contemplant le second accouplement, chaque passage de la grosse bite noire refoulait des coulées blanches du précédent black. Celui qui venait de se vider dans Manon me présenta sa queue semi rigide maculée de sécrétion des deux amants devant mon visage.

– Y en a pour toi ! Nettoie la bien.

Sans un mot, j’ouvris la bouche soumis. Ma langue et mes lèvres recueillirent consciencieusement toutes les traces de sperme et de cyprine et quand du sperme s’écoula du gland, je l’avalais aussi.

Le sexe nettoyé, le gars se rassit et se resservit du champagne, j’en profitais pour regarder le coït B e s t i a l entre Manon et l’autre gars, elle semblait une poupée dans les mains d’un géant, sa fente rougie par les frottements paraissait écartée au maximum, prête à se déchirer. Manon cria à nouveau son plaisir en suppliant son amant de jouir aussi. L’homme ne tarda pas à l’exaucer et se vida en elle. Quand il se retira, des coulées abondantes de liqueur s’échappèrent du sexe de Manon, l’homme se présenta à son tour devant moi. Il n’eut rien à dire, j’avais compris ce qu’on attendait de moi.

– Quand tu auras fini, tu viendras me lécher moi aussi.

La petite voix fluette de Manon avait brisé le silence de la pièce. Je lâchais le sexe du black, restant à genou, je me déplaçais jusqu’au canapé. Son sexe dégoulinait de toute part, il y en avait partout, dedans, à côté, sur son ventre, entre ses fesses et même sur mon très beau canapé en cuir. Régulièrement, centimètre par centimètre, j’ai tout léché, enlevé, aspiré, écartant ses fesses pour récupérer jusque sur son anus. Le premier black s’était rapproché de Manon, il bandait à nouveau. Manon lui fit non de la tête.

– Vous m’avez défoncée, ce soir c’est fini pour moi, ma chatte ne peut plus accueillir de bite.

– Allez soit sympa, j’ai encore envie moi….je te promets d’aller doucement….

– Non vraiment je ne peux plus

– Et ton cul, je peux le prendre ?

Manon se redressa en souriant.

– Mon cul non, je le donne pas…par contre si tu veux le sien, tu peux….

A quatre pattes, les fesses en l’air, la ficelle d’un string rose dans la raie, ma position était scabreuse. Je regardais Manon lui faisant non de la tête, elle me fixait.

– Si tu veux j’ai du lubrifiant dans mon sac… dit-elle au black

Il alla fouiller dans le sac.

– Toi continue de lécher.

La tête dans la chatte de Manon, je sentis couler du frais sur mon anus, deux doigts étalant au mieux le gel, autour et poussant le sphincter pour faire pénétrer à l’intérieur. Un bruit de tube qu’on presse, le black devait se badigeonner la queue, je continuais d’implorer non de la tête, en réponse Manon me souriait.

Une main avait tiré la ficelle du string sur le côté, un doigt s’enfonça d’un coup en moi, me faisant sursauter. Une dernière supplique à Manon qui me susurra que ça irait bien, que j’allais aimer et je sentis le gros gland contre ma rosette. A la première petite poussée, le gland s’écrasa, à la seconde je sentis une douleur intense, le gland avait f o r c é le passage. Le black se retira, mon sphincter n’avait pas fini de se resserrer que la troisième poussée permit l’introduction de la moitié de son sexe. Mon dernier rempart avait cédé complètement, emmanché à moitié en moi, il me saisit par les hanches et s’enfila entièrement en moi. Le souffle coupé par la soudaineté de cette introduction, des larmes coulaient sur mes joues.

– Détend toi, ça y est, il est passé. Tu vas t’habituer.

Le black se retira en partie et revint d’un coup au fond de mon cul, m’arrachant un gémissement de douleur.

– Ca va, tu veux que j’arrête me questionna le black.

– Je suis sûre qu’il veut que tu continues lui répondit Manon en me regardant dans les yeux.

– Vraiment ? redemanda le black en refaisant coulisser à nouveau sa queue dans mon cul.

Manon me prit le menton dans sa main, me f o r ç a nt à la regarder.

– Alors…il attend que tu lui dises….. son regard ne souffrait aucune discussion

– Oui……continue….

Je finis par lâcher la phrase que Manon attendait, elle me sourit encore une fois et m’embrassa sur les lèvres en me disant qu’elle m’adorait. Tenu par les hanches, le black me baisait le cul méthodiquement, jamais je n’avais été enculé et j’avais l’impression d’être déchiré par chaque passage de sa queue.

– Putain t’as le cul serré, je ne vais pas tenir longtemps

Ses mains tenaient plus fermement mes hanches, mettant plus de vigueur et de vitesse dans ses mouvements, il finit par se coller à moi en grognant.

– Putain, t’es une sacrée salope toi, je te rebaise le cul quand tu veux.

Bien qu’il s’était retiré, j’avais l’impression de l’avoir encore en moi.

Je me laissais tomber recroquevillé au sol, observant les deux compères qui se rhabillaient et finirent par partir de la maison. Je n’en finissais plus de sentir le passage de cette queue, du sperme d’écoulait de mon anus pas entièrement refermé. Manon se leva et partit prendre une douche, je restais seul prostré dans le salon. Un long moment aux toilettes pour me vider et en sortant, je croisais Manon. Je marchais lentement, elle s’arrêta rigola et me lança :

  • Vous les mecs vous êtes bien tous les mêmes ! Vous rêvez de sodomie en nous disant que ce n’est rien, juste un petit moment à passer, qu’on va s’habituer et même aimer ça… mais quand on inverse les rôles, là ce n’est plus pareil, ça devient horrible, la fin du monde…..

Je me sentais ridicule devant elle, à moitié nu, juste vêtu de mon petit string rose cachant à peine mon sexe enfermé dans sa cage de chasteté.

  • Tu ne veux pas m’enlever le truc ? lui demandais-je en montrant mon entrejambe.

Elle me fixait, silencieuse, mystérieuse, envoûtante. Je lui lançais avec f o r c e :

  • J’ai été humilié, j’ai sucé des queues, j’ai été enculé, je t’ai léché…. ça suffit, moi aussi j’ai le droit de jouir…. de vider ma queue.

Stoïque, Manon ne dit rien, elle se contentait d’un petit sourire. Son attitude me désarçonnait, je perdais de ma superbe, encore une fois je baissais le pavillon de la révolte.

  • S’il te plait, je ferai ce que tu veux mais laisse-moi jouir…..tout ce que tu veux….tout.

Le dernier mot fut quasiment inaudible, je le prononçais mécaniquement tout en baissant la tête, je m’inclinais devant la supériorité de ma Maitresse, elle commandait ma queue, elle me commandait donc. Manon s’avança vers moi, me saisit entre les jambes, me fixant dans les yeux elle me dit tout doucement.

  • J’aime les queues bien pleines de sperme qui sont prêtes à exploser. Tu vas encore attendre un peu et la semaine prochaine tu pourras te planter en moi….

Ces mots provoquèrent un électrochoc en moi, mon sexe essaya en vain de se redresser, empêché par sa cage de métal.

  • Et peut-être que j’inviterai une copine, on aura besoin de ta queue bien dure dans nos deux chattes en chaleur….ça te plairait ?

Comprimé dans son écrin, mon sexe me faisait mal, je hochais oui de la tête en guise de réponse. Manon m’embrassa longuement et voluptueusement. A la sortie de notre baiser, elle fit glisser sa langue sur mes lèvres.

  • Hum, je kiffe….tout ce que tu acceptes de moi…..Et…… quand on aime le sexe…..on aime tout…..je suis sûre que tu aimes tout……

Manon me laissa en plan, elle se posa sur le canapé, allumant la télé. Vêtu du seul string rose, la queue douloureuse comprimée dans sa cage, je rêvais à la semaine prochaine.

Toute la semaine qui suivit, Manon sortit beaucoup, partant tôt le matin, rentrant tard le soir, à chaque fois que je lui demandais ce qu’elle avait fait, elle restait évasive. Les deux premiers jours, à son retour, je lui avais demandé de libérer ma queue mais à chaque fois elle avait refusé, me menaçant de tout balancer à sa sœur si je continuais à me plaindre. Le troisième soir, la soirée était déjà bien avancée, Manon rentra assez tard, elle semblait avoir bu un coup. Alors que je regardais sagement la télé, elle baissa son pantalon, retira dans la foulée sa culotte et s’allongea face à moi son sexe face à moi.

  • Viens me lécher la chatte, j’ai envie de jouir.

Je me glissais entre ses jambes pour m’exécuter, elle releva ses cuisses pour bien découvrir sa fente et une grosse coulée blanche en sortit. Elle venait de se faire baiser, cela ne faisait aucun doute. Sous son regard pervers, ma langue rattrapa la coulée de sperme pour la ramener dans ma bouche, satisfaite par mon soumission, elle laissa sa tête tomber en arrière et se délecta de mes coups de langue.

La faire jouir pour espérer jouir. Je ne m’étais pas posé de question, j’avais trop peur de ne pas être libéré prochainement si je n’obéissais pas alors j’avais léché et avalé ce sperme puis je m’étais appliqué à lui procurer le plaisir qu’elle demandait. Elle jouit, se comprimant ses seins, me traitant de salope, de lopette, de bouffeur de sperme. Sa jouissance passée, Manon partit se coucher dans sa chambre en me souhaitant une bonne nuit le plus naturellement du monde. Ma queue….je n’en pouvais plus…..quand ? … Quand allait-elle me permettre de me soulager….

Le lendemain, rebelote, Manon rentra assez tard mais cette fois ci, elle était accompagnée par un gars. Sans un mot pour moi, elle l’entraîna dans sa chambre, le gars me salua en coup de vent, l’air un peu gêné par ma présence. La porte de la chambre de Manon resta ouverte, elle voulait que j’en profite. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour commencer à l’entendre gémir puis crier son plaisir. Même les voisins devaient en profiter, tellement elle était expressive.

Après le paroxysme de leur jouissance, le calme revint. Quelques instants plus tard, le gars repassa dans le salon, continuant à se rhabiller, il me lança :

  • Elle t’attend, salut, bonne soirée.

Le gars claqua la porte. Je me levais, me déshabillait entièrement et je la rejoignis dans sa chambre. Elle gisait nue sur le dos, les cuisses écartées. Je savais ce qu’elle attendait de moi, positionné entre ses cuisses, je léchais sa fente, ma langue nettoyait toute trace de semence masculine. Son sexe nettoyé, son doigt pointa son ventre où une giclée avait également atterri, je la léchais aussi.

  • Fait moi jouir aussi, maintenant que je suis propre.

Sans un mot, je me remis à l’ouvrage, ma langue dansait sur son sexe, jouant avec ses lèvres pour lui donner du plaisir.

  • C’est bien…tu vois que tu n’as plus de mal avec la semence des mecs…..Peut être même que tu commences à aimer ça…..

Qui ne dit mot, consent. Je ne répondis pas, me concentrant sur mon ouvrage, sur sa fente offerte. Manon se tortillait de plus en plus, je pensais que ma langue en était la raison mais sans prévenir, elle lâcha un petit jet d’urine qui atterrit dans ma bouche.

  • Ouh ! désolée….j’ai trop envie de faire pipi…

Je déglutis sous l’œil intrigué de Manon. Ma bouche reprit son ouvrage sur son sexe et elle lâcha un nouveau jet. J’avalais à nouveau.

  • C’est dur de se retenir mais je ne veux pas tâcher les draps….. je fais doucement pour toi….fais gaffe aux draps.

Un troisième jet plus important me remplit la bouche. Elle jouait, elle s’amusait à m’humilier, à me pousser toujours plus loin. Quelle perversité pour une si jeune femme à qui on donnerait le bon dieu sans confession.

  • Ce n’en peut plus, viens.

Manon se leva, me prit par le bras et m’emmena dans la salle de bain. Elle me coucha sur le carrelage froid, positionna son sexe au-dessus de ma bouche et ce fut les grandes eaux qu’elle guida dans ma bouche bien ouverte.

  • Ahhhh, ça fait du bien……et j’adore te faire plaisir……bois ma pisse si tu aimes ça, fais toi plaisir….

Soulagée, Manon me laissa et repartit dans sa chambre, la porte fermée. Le visage trempé d’urine, baignant dans une petite mare jaune, il ne me restait plus qu’à nettoyer et prendre une douche. Une chose est sûre, quand elle allait m’enlever ma ceinture, ma queue, je comptais bien lui mettre profondément, elle allait payer ses turpitudes…

Encore une fois, le lendemain, Manon rentra tard. Elle se servit un verre de vin blanc et se posta devant moi. Affalé dans le canapé, je la regardais. Elle but une gorgée sans un mot tout en me fixant du regard. Je dégrafais sa jupe qui tomba à ses pieds, puis je fis glisser sa culotte qui rejoignit la jupe par terre. Manon souleva une jambe et posa son pied sur le canapé, me facilitant l’accès à son nid d’amour. Je collais ma bouche à son sexe et je la léchais. Elle but à nouveau une gorgée.

  • A chacun sa liqueur préférée.

Elle s’était encore faite prendre, du sperme coulait de son sexe, je le recueillais avec ma langue.

  • Demain comme promis on se fait une soirée avec une copine….on va s’éclater avec ta queue, mon cochon….

Je posais mes mains sur ses fesses et appuyais pour pousser sa fente contre ma bouche. Je la mangeais littéralement, excité par son annonce. Demain elle allait déborder de ma semence cette petite salope, plus que 24 heures à tenir…. J’eus beaucoup de mal à m’endormir, imaginant Manon et sa copine….Il fallait que je me calme, ma queue me faisait mal, elle ne pouvait pas se déployer, emprisonnée dans sa cage de chasteté.

Une nuit pourrie, plombée par des érections intempestives causées par des putains de rêves érotiques. Manon et sa copine…..j’en ai rêvé toute la nuit, elle a intérêt d’être belle la cocotte, parce que moi je n’en peux plus. Et de toute façon, même si elle n’est pas belle, elle y passera, j’ai trop envie de sexe de baiser, de vider mon trop plein de frustration.

Au petit déjeuner, je regardais Manon et son petit cul adorable à peine couvert papillonner tout autour de moi. Et je cherche le paquet de biscottes et je me baisse pour chercher une bouteille d’eau et je me mets sur la pointe des pieds découvrant bien ma mince culotte pour attr a p e r un bol….Je restais calme mais elle ne perdait rien à attendre. Sa douche prise, comme à son habitude Manon sortit se promener en ville. Plus que la journée à attendre et ça allait être sa fête….

Boulot, démarchages.. le cœur n’y était pas, je n’avançais pas, je ne pensais qu’à ça… Tant pis pour le boulot….Jardinage….télé…..rien n’y faisait, pas de concentration, obsédé par ma prochaine jouissance programmée, le temps ne passait pas, les minutes s’égrenaient lentement, très lentement.

Un appel de ma femme Sophie me sortit un peu de mon obsession, parler de tout, de rien, lui dire qu’ici tout va bien, que sa sœur est très agréable et sympathique…même si j’en pensais le contraire.

Plus tôt !? Sophie avait fini sa mission quasiment, elle allait pouvoir rentrer plus tôt ! Quand ?! Un coup de chaud m’envahissait, ce n’était pas le moment ! Ouf, deux jours…elle ne rentrerait que dans deux jours. Ça me laisserait le temps….Manon tu allais y passer……

La nuit était tombée, j’attendais patiemment Manon devant la télé. A l’affût du moindre bruit, tel un prédateur qui guette sa proie, j’attendais son retour et celui de sa copine. Une bouteille de champagne au frais pour les recevoir et ma queue bien pleine pour ne pas les décevoir.

Minuit, toujours pas de Manon, elle traînait plus que d’habitude…Sûrement à se faire prendre une fois de plus avant de venir, histoire d’être bien pleine de sperme pour me faire lécher le tout….Cela ne me dérangeait plus, c’était presque devenu une habitude….

Deux heures du matin, les paupières commençaient à peser, mais où était-elle, que faisait-elle encore. Elle déconnait, je l’attendais moi, elle avait promis…et si elle ne venait pas….non pas possible, elle avait promis… Quatre heures trente, je sombrais définitivement dans les bras de Morphée, terrassé par cette attente interminable. La salope, elle m’avait encore eu…..

Le réveil sonne…..non, pas le réveil, mon portable…..J’émergeais doucement….Le canapé…Manon…pas venue….oui, je me souviens maintenant…..ce portable, il est où encore….. Zut, la messagerie, je suis arrivé trop tard. Manon ! Un message de Manon, qu’avait-elle encore inventé ?!

J’écoute…..quoi….elle vient…..30 minutes…..avec sa copine…..comment…….ok.

J’ai peu de temps, je me résume pour ne rien oublier. 30 minutes, elle arrive avec sa copine dans une demie heure, je dois l’accueillir nu à genou dans l’entrée. La course ! Tout d’abord ranger le bazar que j’ai laissé d’hier puis filer prendre une douche, à peine le temps de se sécher que la fin de la demi-heure approchait. A genou dans l’entrée, j’étais prêt comme elle me l’avait demandé. Cette fois ci, je n’eus pas longtemps à patienter, la porte s’ouvrit rapidement, Manon suivie d’une belle et fine jeune femme d’origine asiatique entra.

  • Viens !

M’ordonna Manon en se dirigeant vers le salon. La situation frisait le ridicule, moi la quarantaine, nu le sexe en cage suivant deux nymphettes de 20 ans comme un petit chien.

Devant le canapé, la jeune asiatique me fixa un instant, saisissant entre ses doigts les petits nœuds qui accrochaient sa robe légère sur ses épaules, elle tira dessus, le tissu glissa doucement sur son corps et finit au sol. Nue, elle ne portait rien dessous, je la contemplais avec plaisir, de petits seins, un corps gracile, un sexe complètement lisse.

Sans me quitter du regard, elle s’allongea sur le canapé, écartant une jambe pour m’offrir un accès à son sexe. Pas un mot ne fût nécessaire, Manon avait créé ce rituel, comme un automate.

  • Nettoie la mais ne la fais pas jouir…..elle veut ta queue pour ça…

Me chuchota Manon à l’oreille. J’avais craint que Manon me joue à nouveau un tour mais non, ma queue allait avoir droit à la belle. Je redoublais d’ardeur pour complaire à Manon, léchant la jeune femme avec envie, enlevant toute trace de sperme dans cette fente promise.

  • Ça suffit, viens.

L’ordre de Manon avait claqué depuis l’escalier, absorbé par mon ouvrage, je n’avais pas remarqué qu’elle avait bougé. Elle était nue, elle aussi et se tenait dans l’escalier. Sans nous attendre, elle monta à l’étage et disparut dans sa chambre. La jeune asiatique se leva et partit la rejoindre, je lui emboîtais le pas, la queue martyrisée par le manque de place dans sa cage.

  • Couche-toi sur le lit.

J’obéis, trop heureux d’être en compagnie de deux jeunes nymphettes nues dans la chambre.

  • Je vais te libérer mais avant je préfère t’attacher, c’est nous qui allons jouer avec ta queue bien dure….comme on en a envie…. Toi tu te laisses faire…..

On y était, j’allais pouvoir bander et jouir jusqu’à plus soif. Etre attaché ce n’était pas ce que j’avais prévu mais mon sexe bandé et bien plein dans leur petite chatte serré, je savais comment ça allait finir.

Je m’allongeais, écartant bras et jambes pour que Manon puisse les lier et m’immobiliser. La jeune femme aida Manon, puis les jeunes femmes sortirent de la chambre. Je testais rapidement la solidité des liens mais rien à faire, elles savaient y faire. Un doute m’assaillit, et si elle avait encore inventé autre chose…..Trop con, j’étais peut être trop naïf de faire confiance à cette garce.

Mes craintes s’estompèrent dès le retour des deux nymphettes toujours nues. Manon avait une clé dans sa main, elle déverrouilla le cadenas et libéra ma queue qui instantanément se redressa. Je bandais enfin, libéré, mon pieu était paré à offrir le supplice du pal à ces deux nymphettes. La jeune asiatique mit un lien à la base de ma queue, me disant que ça allait me permettre de rester bien dur et elle serra fort. Le s a n g ne passait plus, ça donna l’impression d’être encore plus dur.

Manon avait un tube de lubrifiant en main, elle badigeonna avec application toute mon membres, s’attardant à bien en mettre partout. J’étais prêt, dur et lubrifié, je n’attendais plus que leurs fentes promises. Une capote ?! Manon après m’avoir abondamment lubrifié, recouvrait mon sexe d’un préservatif. Pourquoi ?! Pas très logique tout cela !?

Je regardais Manon l’air interrogatif. Elle sourit et saisit mon sexe pour le maintenir droit. La jeune asiatique grimpa sur moi, positionnant son sexe au-dessus du mien que Manon tenait toujours fermement. Un mouvement, une sortie, un second mouvement et elle était entièrement emmanché sur ma queue. La jeune femme bougeait des hanches, je voyais ma queue disparaître dans sa fente et réapparaître dans l’instant suivant.

Ma queue, grosse, dure, pleine d’envie, coulissait dans la fente serrée de la copine de Manon. Elle gémissait, sa petite voix fluette disait son plaisir, mais moi rien. Je ne sentais rien, plus aucune sensation de ma queue que pourtant je voyais bien. Incroyable spectacle de cette petite jeune femme qui s’éclatait sur ma queue mais qui ne m’offrait aucun plaisir. Affolé, je tournais mon regard vers Manon, posée à côté de moi.

  • Manon….je….

Je n’eus pas l’occasion de finir, ma belle-sœur m’embrassa à pleine bouche avec tout son cœur.

  • Tu ne sens rien ? C’est normal, je t’ai appliqué une crème anesthésiante pour t’aider à te contrôler et pas partir en 2 secondes….En attendant de retrouver tes sensations, profites du spectacle….

Ma cavalière avala entièrement mon sexe et nous cria sa jouissance. Elle se laissa tomber à côté de moi sur le lit, Manon prit sa pace sur mon sexe. D’un seul coup, elle me prit en entier.

  • Putain, qu’elle est grosse et dure…..humm…..dommage que tu ne ressentes rien parce que moi, … ouahhhhhh, je la sens bien…..

Manon me narguait, elle s’était positionnée pour que notre accouplement soit bien visible. Je voyais distinctement les lèvres de sa fente qui s’écartaient à chaque passage de ma queue, en temps normal, cette vision m’aurait fait partir en moins de 30 secondes mais là, rien c’était comme si je regardais un film. Elle en rajoutait la garce, faisant des commentaires sur ma queue, sur le plaisir que je lui donnais, sur ses regrets que je ne ressente rien.

A son tour, l’asiatique vint m’embrasser avec passion puis elle mit face à Manon, collant sa fente sur mon visage. Le deux jeunes femmes s’embrassèrent, se caressèrent. Manon continuait de plus belle à se baiser avec ma queue pendant que sa copine pressait son sexe sur ma bouche, cherchant ma langue pour prendre aussi du plaisir.

Manon jouit, sa copine la suivit dans son plaisir peu après, les deux jeunes femmes se serrèrent dans leurs bras et s’embrassèrent tendrement à côté de moi. Je restais nu, attaché le sexe en érection. Je voulais baiser, je m’étais fait baiser.

L’inconnue délia le lien qui enserrait ma queue et se rhabilla. Manon était partit puis revenue avec des glaçons, je savais ce qu’elle allait faire. Le froid des glaçons me fit vite débander, elle rangea ma queue dans la cage de chasteté. Retour à la case départ, sous l’emprise de la jeune femme ! Je trouvais presque cela normal, j’acceptais inconsciemment mon état de soumission.

Midi, je terminais de préparer à manger pour Manon et moi, quand soudain, surprise, la porte d’entrée s’ouvrait, Sophie ma femme était de retour.

Panique !

La Sénégalaise

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J'adore le coup de la crème anesthésiante ! je vais sûrement rebondir sur cette idée ! Merci
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